Commission des sciences économiques et sociales
Spécialité de la ville de Dijon, protégée par une indication géographique depuis 2012, la crème de cassis est un produit phare associé à l’image traditionnelle de la cité des Ducs. [ Lire la suite ]
Commission des sciences économiques et sociales
Spécialité de la ville de Dijon, protégée par une indication géographique depuis 2012, la crème de cassis est un produit phare associé à l’image traditionnelle de la cité des Ducs. [ Lire la suite ]
Commission des sciences
C’est une histoire d’entreprise, reflet d’une histoire de l’industrie, de la décentralisation des années 60 à aujourd’hui.
C’est aussi une histoire d’hommes et de femmes confrontés au besoin de performance industrielle puis à la délocalisation inéluctable de l’industrie. [ Lire la suite ]
Commission des arts et lettres
L’Académie commémore la Grande Guerre
Dans le cycle L’Académie commémore la Grande Guerre, Madeleine Blondel se propose de parler des créations des soldats pour conjurer angoisse et peur durant leurs séjours dans les tranchées. Cette activité génère des objets modestes aujourd’hui collectionnés car révélateurs d’une psychologie de circonstance et porteurs de sentiments et de mémoire. [ Lire la suite ]
Académie
Éloge de René Faugère par Martine Chauney-Bouillot et Michel Pauty
Depuis 2014, l’Académie de Dijon évoque chaque trimestre la Grande Guerre à travers des communications très diverses et elle poursuivra cette commémoration jusqu’en 2018. Pour son Prix 2016, elle a souhaité pouvoir couronner un ouvrage récent répondant à la question suivante : « La Grande Guerre a-t’elle influencé l’expression artistique ? ». [ Lire la suite ]
Archives municipales de Dijon
Conférence de Jean-François Naizot
Consacrée à son grand-père ingénieur au service des eaux de la Ville de Dijon, résistant de la guerre 1939-1945 et mort en déportation.
Entrée libre
Commission des arts et lettres
A 16 km de Dijon au nord du village de Lantenay, en haut de la colline il ne subsiste du château ducal que des fossés, quelques ruines et une chapelle construite à la demande d’Alix de Vergy qui se retira à Lantenay en 1230.
Le 13 janvier 1431, Philippe le Bon fit don de la seigneurie à un de ses vassaux, Philippe de Courcelles puis le château et les terres appartinrent successivement à une dizaine de propriétaires dont les Montpensier de 1538 à 1599. [ Lire la suite ]
Commission des antiquités et du patrimoine
Cette conférence est donnée à l’occasion de l’édition d’un ouvrage sur ce sujet. La riche documentation recueillie entre 1846 et 1938 sur le site de l’agglomération gallo-romaine n’a fait l’objet que de publications ponctuelles. Il a d’abord fallu, à partir des croquis annuels, restituer le plan de ces fouilles, enrichi des données de l’archéologie aérienne ; ce plan embrasse une très large surface de l’agglomération antique. À partir de cela il a été possible de définir précisément l’organisation de l’espace urbain et de montrer qu’une partie de celui-ci a fait l’objet d’une viabilisation qui ne peut être le fait que d’une autorité extérieure. [ Lire la suite ]
Commission des sciences économiques et sociales
Lors des croisades, dès le XIIe siècle, la moutarde fut introduite dans notre région productrice de vin. Ces ingrédients produisirent une moutarde que les ambassadeurs des ducs de Bourgogne ont diffusée dans le royaume et hors de ses frontières. Dijon devint au XVIIe siècle le siège de corporations actives de vinaigriers et de moutardiers. [ Lire la suite ]
Académie
Le rapport entre croyance personnelle et législation est un sujet dont Montesquieu s’occupe dans différents écrits mais c’est surtout dans L’Esprit des lois qu’il approfondit ce sujet. Le livre XXIV est consacré en particulier aux rapports entre les lois d’un côté et la pratique et l’essence même de la religion. La position de Montesquieu est assez prudente à l’égard, par exemple, de Pierre Bayle, dont il combat deux thèses très hardies, selon lesquelles une société d’athées serait préférable à une société d’idolâtres et aussi qu’une société de parfaits chrétiens ne pourrait pas subsister. Mais c’est dans les quinze chapitres du livre XXV que Montesquieu aborde surtout le sujet de la tolérance. Il est en général assez prudent face aux thèses de John Locke et encore plus de Pierre Bayle qui arrive, au bout de deux siècles de guerres de religion, à tolérer même ceux qui professent l’athéisme. [ Lire la suite ]
Commission des antiquités et du patrimoine
Les archives de la reconstruction permettent assez souvent de retrouver des indications sur le patrimoine détruit ou endommagé. C’est le cas des dossiers suscités par les indemnisations qui ont suivi l’émeute dijonnaise des 28 février-1er mars 1630, connue sous le nom de « Lanturlu ». [ Lire la suite ]
Commission des sciences économiques et sociales
Il y a encore une cinquantaine d’années, si vous entriez à Pagny-la-Ville en franchissant la Saône au pont de Charrey, vous auriez vu la rivière couverte d’icebergs en miniature que les eaux emportaient jusqu’au barrage de Lechâtelet. Ces résidus étaient constitués d’une mousse blanche produite par les eaux de traitement des pommes de terre de la féculerie de Pagny, « l’Usine » comme on la désignait dans toute la région. [ Lire la suite ]
Commission des sciences
L’Académie commémore la Grande Guerre
Un service de santé défaillant et submergé par l’afflux des blessés, une doctrine dépassée, « vous étendez, nettoyez, bandez et évacuez », et c’est un désastre sanitaire avec beaucoup d’accidents infectieux : septicémie, gangrène, tétanos. L’enquête officielle a montré que la moitié des amputations et des infirmités permanentes auraient pu être évitées. [ Lire la suite ]
Commission des arts et lettres
L’Académie commémore la Grande Guerre
L’objectif de cette communication est de rendre visible le rôle de la Belgique dans le conflit et montrer comment cette période a été à la fois terriblement destructrice et source d’évolutions et du renforcement du sentiment d’appartenance à un destin national commun incarné par la figure tutélaire du Roi Albert Ier, « Le Roi chevalier ». [ Lire la suite ]
Académie et Commission des arts et lettres
Instruments de « la terreur blanche légale », quand elles ne sont pas totalement ignorées, les cours prévôtales bénéficient d’une réputation de sévérité sans doute exagérée.
Voulues par les ultra-royalistes de la « chambre introuvable » qui ne se remettaient pas de l’épisode des Cent-Jours et réclamaient des peines plus fortes et une justice plus rapide, les cours prévôtales, instituées par la loi du 20 décembre 1815, devaient juger vite et sévèrement : après une instruction rapide, les jugements rendus en dernier ressort et sans recours en cassation, étaient exécutés dans les 24 heures. [ Lire la suite ]